Une mise en garde de BENJAMIN H. FREEDMAN

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Benjamin H. Freedman fut l’une des personnalités les plus étonnantes et énigmatiques du vingtième siècle. Né en 1890, M. Freedman était un homme d’affaires juif prospère de New York. Au cours de sa brillante carrière, il fut notamment l’un des principaux actionnaires dirigeants des savonneries Woodbury [Woodbury Soap Company]. Mais il rompit avec le « pouvoir juif » après la victoire judéo-communiste de 1945. Il consacra alors le restant de son existence (ainsi que la plus grande partie de sa fortune - considérable, estimée au minimum à 2,5 milliards de dollars) à dénoncer la tyrannie de certains milieux qui avaient pris le contrôle du véritable pouvoir aux Etats-Unis.

M. Freedman savait ce dont il parlait, car il avait été admis dans les organisations juives, aux niveaux les plus élevés, ce qui lui avait permis d’être informé des machinations du bloc de commandement judaïque, le Kahal, dont l’objectif était de s’accaparer le pouvoir de décision en Amérique.

 

M. Freedman était un familier de Bernard Baruch, de Samuel Untermeyer, de Woodrow Wilson, de Franklin Roosevelt, de Joseph Kennedy et de John F. Kennedy, ainsi que de bien d’autres démiurges des temps modernes.

 

Craignait-il ces gens de pouvoir qui dirigeaient officieusement les Etats-Unis derrière des marionnettes politiciennes ? Attendait-il de voir la manière dont ce cartel bancaire allait appliquer le plan d’Albert Pike concernant les trois guerres mondiales ? Nous l’ignorons. En tout cas, il rédigea des documents très importants et totalement occultés par les grands médias…

 

 

 

Format A5 – 40 pages